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Patrimoine local et activités
Découvrez les richesses de notre territoire
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Des trésors locaux à découvrir au fil de vos balades
Billième offre une grande diversité de sentiers de randonnée, adaptés à tous les niveaux. Que vous soyez amateur de balades familiales, passionné de randonnées sportives ou adepte de trails en montagne, les chemins de la région vous mèneront à travers vignobles, forêts et panoramas exceptionnels sur le lac du Bourget et les Alpes.
Les amateurs de VTT ne sont pas en reste, avec plusieurs sentiers balisés permettant de parcourir la commune et ses alentours sur deux roues, entre forêts et collines.
Parmi les itinéraires incontournables, on retrouve :
📍 Retrouvez l’ensemble des itinéraires détaillés sur le site Visorando !
Six sites sur la commune avec des pierres gravées de cupules, probablement à usage rituel.
Datés de 2917 à 1884 av. J.-C., étudiés depuis 1923.
Classés monuments historiques en 1939, répartis autour de Billième.
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Description
L’ensemble comprend six sites : Follioules, Santourin, Lachat, Le Rocher, La Guettaz (en photo) et La Roche. Follioules et La Roche comptent deux pierres chacun, les autres une seule. Creusées de cupules – petites dépressions circulaires ou ovales gravées par l’homme –, ces pierres présentent un nombre variable de marques : 14 à Follioules, 37 à Santourin, 6 à Lachat, 71 à La Guettaz et 22 et 9 à La Roche. Certaines cupules de La Roche étaient teintées, évoquant une carte céleste.
Localisation
Follioules se situe à Jongieux, les autres sites à Billième. Ils forment un cercle de 1 825 mètres de diamètre centré sur le village, entre le bourg et La Croix des Fourches. Deux se trouvent au nord (Follioules et Santourin), quatre au sud. Le Rocher, légèrement excentré, est à 150 mètres au sud-ouest de Lachat.
Historique
Les blocs ont fait l’objet de fouilles successives : Joseph Tournier (1923), Anthelme Dubiez (1937), Lucien Lagier-Bruno (1971-1979), Bernard Quinet (1983) et Françoise Ballet & Philippe Raffaelli (1990).
Datation
Ces sites remonteraient à la fin du Néolithique et au début de l’Âge du bronze. Des analyses au carbone 14 sur des charbons retrouvés sous la pierre de Santourin indiquent des datations entre 2917 et 1884 av. J.-C.
Protection
Classés monuments historiques en mai 1939, les sites de La Guettaz, La Roche, Follioules, Lachat, Le Rocher et Santourin bénéficient d’une protection officielle.
Billième cultive cinq cépages emblématiques aux arômes riches et variés.
Chaque étape, de la vigne aux vendanges, garantit des vins de qualité.
Des vins A.O.C., reflet du terroir et du travail des vignerons locaux.
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Un terroir d’exception
Si la Savoie est riche de 22 cépages, Billième cultive cinq variétés emblématiques qui font la renommée de son vignoble :
Ces vins reflètent le terroir et le savoir-faire local.
Un travail de patience et de précision
Tout au long de l’année, la culture de la vigne exige des gestes précis et minutieux :
Chaque étape requiert un savoir-faire transmis de génération en génération.
L’art de la vinification
Une fois les raisins récoltés, débute la vinification, subtil équilibre entre tradition et innovation. Ce travail en cave est mené avec expertise par les viticulteurs.
En 2006, quatre familles de vignerons perpétuaient cette tradition à Billième, produisant des vins d’Appellation d’Origine Contrôlée (A.O.C.), gage d’authenticité et de qualité.
Un vignoble à découvrir et à déguster
Aujourd’hui encore, les vins de Billième séduisent par leur finesse et leurs arômes uniques. Chaque bouteille raconte une histoire, celle d’un terroir et d’une passion transmise au fil des siècles.
Billième est également une étape du circuit des Vignobles de Savoie : une balade à ne pas manquer pour déguster les vins locaux et partir à la rencontre des vignerons.
Détruit en 1793, reconstruit en 1844, il abrite une statuette de la Vierge.
Sablage, nouvelle statue en marbre et mise en valeur de l’édifice.
L’oratoire et les croix de Combes, Jacquins et Touvet font partie de l’histoire de Billième.
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Oratoire Notre-Dame de la Délivrance
Le 11 novembre 2022, l'oratoire Notre-Dame de la Délivrance a été béni par le Père Purpan après sa restauration, en présence du maire, des conseillers municipaux et des habitants.
Une histoire marquée par le temps
L’origine exacte de l’oratoire reste inconnue, mais son histoire prend forme à la fin du XVIIIe siècle, en bordure de la D44 en direction de Gerbaz.
Lors de l’invasion française de 1793, en pleine Révolution, les signes religieux furent supprimés : cloches confisquées, croix et calvaires détruits. L'oratoire de Billième fut reconstruit en 1844, financé par Madame de Mareschal, noble habitante du village. Il prit alors le nom de Notre-Dame de la Délivrance. Ce "pilon" abrite une statuette de la Vierge, surmontée d’une sphère en pierre et d’une croix en fer forgé.
Une restauration minutieuse
En 2018, la municipalité décide sa restauration :
Les autres croix et calvaires de Billième
Construite en 1874, l’église de Billième reprend le plan de celle de Sainte-Marie-d’Alvey et accueille une cloche signée Paccard, célèbre fonderie d’Annecy-le-Vieux.
L’église a bénéficié de plusieurs restaurations : vitraux en 1992, toiture, clocher et murs extérieurs en 2002, puis peintures intérieures en 2008.
Les cloches rythment encore la vie du village en sonnant l’Angélus chaque jour à midi et 19h00.
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L'église de Billième, construite en 1874, suit le même plan que celle de Sainte-Marie-d'Alvey. Sa cloche provient de la fonderie Paccard d'Annecy-le-Vieux.
L’église appartient au diocèse de la Sainte-Famille de Yenne et a connu plusieurs restaurations au fil des ans :
Les cloches continuent de sonner l’Angélus chaque jour à midi et 19h00.
Château du XVIᵉ siècle, reconstruit après la Révolution, ancien siège de la baronnie de Bornessant.
Passé entre les mains des familles Mareste, Comnène, Belly, puis Dullin, encore propriétaire aujourd’hui.
Bâtisse carrée à trois étages, flanquée de quatre tourelles aux angles.
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Le Château de Bornessant est un château du XVIème siècle, reconstruit après la Révolution et restauré vers 1852, sous l’Ancien Régime siège de la baronnie de Bornessant, qui se dresse sur la commune de Billième.
Histoire
Le château de Bornessant, érigé dans la seconde moitié du XVIe, est la possession d'une branche de la famille de Mareste, seigneurs de Montaigre (Vieu). Claude de Mareste qui avait acquis, en 1533, auprès du duc Charles III de Savoie, le fief, avec réserve de rachat perpétuel, en reçoit, le 20 août 1565, inféodation avec érection au titre de baronnie.
Anthelme de Mareste y vit, en 1700.
Louis de Bornessant de Mareste, seigneur de Montaigre, est, le 26 mars 1717, parrain, à Chevelu, d'une fille de noble François Drujon. Le 19 novembre 1722, ce même Louis épouse Françoise d'Arcollières, fille de Pierre d'Arcollières, seigneur de Prélian.
Le fief de Bornessant échoit, toujours en 1722, à la famille de Comnène ; Claude de Comnène qui en a la possession, le transmet, en 1725, à son fils, Joseph-Nicolas Comnène, dont le fils unique, Claude Comnène, religieux, dominicain à Chambéry, le vend, le 31 mai 1753 à Maître Prudent Belly, bourgeois de Chambéry.
Les Belly le garderont jusqu'en 1818, ou, il passe, par héritage et partage aux familles Goybet et Dullin, puis à la famille Dullin de Yenne.
Le château est démantelé, en 1798, à la Révolution française, en application de l'arrêté du 8 pluviôse an II (27 janvier 1794) du représentant Albitte. Reconstruit, il est restauré vers 1852 par Pierre Dullin, président de Chambre à la Cour d'appel de Chambéry et cousin germain de Jacques Dullin, du Châtelard, père de Charles Dullin. La famille Dullin possède encore le château de Bornessant aujourd'hui.
Description
Le château de Bornessant se présente aujourd'hui sous la forme d'une grosse maison quadrangulaire haute de trois étages sur rez-de-chaussée. Quatre tourelles en flanquent les angles.
Ancien centre de la seigneurie de Billième, la maison forte date du XIIIᵉ siècle.
Le château est passé entre les mains des familles de Billième, Bavoz, Mareste, puis vendu à la Révolution.
Il reste aujourd’hui une grande bâtisse, avec sa porte d’origine du XIIIᵉ et quelques éléments médiévaux.
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Le château de Billième est une ancienne maison forte, du XIIIe siècle, centre de la seigneurie de Billième, qui se dresse sur la commune de Billième dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Situation
Le château de Billième est situé un peu en contrebas du bourg, à 500 mètres environ au sud-ouest de l'église.
Histoire
Le château de Billième est la possession, au XIIIe siècle, de la famille de Billième ; Nicolas de Billième (de Billiema), est, en 1285, l'un des arbitres qui attribuèrent comme apanage la baronnie de Vaud à titre héréditaire et le château de Pierre-Châtel à Louis de Savoie, frère cadet d'Amédée V de Savoie. Isabelle de Billième, fille de Nicolas, épouse, en 1348, Aynard de Seyssel. Elle reçoit, à cette occasion, de la part de Louis II de Savoie, seigneur de Vaud, une dot de 25 livres de rente.
En 1427, on relève Hugues de Billième ; le fief échoit peu de temps après à la famille de Bavoz, dont une branche était seigneur du Villaret. Un Jean de Bavoz sera marié à Amédée d'Oncieu, fille du seigneur de Chemilieu (Nattages), et, en 1436, Hugon de Bavoz est qualifié comme étant homme lige de Galois de Chevelu.
Hugues de Bavoz, épouse, en 1590, une demoiselle de Prélian. Godefroi de Bavoz d'abord nommé avocat général au Sénat de Savoie le 18 août 1586, il se verra nommé le 16 mai 1600, président de Chambre de ce dernier.
En 1656, Anthelme de Bavoz cède à son cousin Louis de Bavoz, seigneur d'Oncieu (Oncieu), la maison forte de Billième. Vit, en 1690, Louis de Bavoz, puis la terre échoit aux Mareste, marquis de Lucey.
Louis de Mareste, seigneur de Billième, en 1716, est marié à la fille de Vulliet de la Saunière, marquis d'Yenne ; ces derniers conserveront le fief de Billième jusqu'à la Révolution française où il est confisqué et vendu comme bien national.
Un Georges de Bavoz, habitant Billième, probablement au château de Somont, est présent en 1757, dans la maison forte de Prélian, comme témoin au testament de François d'Arcollières, seigneur de Prélian. Le 6 octobre 1768, Joseph de Bavoz est nommé avocat général au Sénat de Savoie. Benoît de Bavoz, lieutenant d'artillerie dans un régiment français, dernier du nom, meurt en 1775, au Malabar.
Le château est démantelé à la Révolution française, en application de l'arrêté du 8 pluviôse an II (27 janvier 1794) du représentant Albitte. Le citoyen Maxime Sevez, envoyé par l'agent national près le district de Chambéry, Morel, pour vérifier la destruction des clochers, tours et châteaux, invite la municipalité à œuvrer à la démolition de l'unique tour du château.
Au début du XXe siècle, il appartient au comte François-Clément de Mareschal de Luciane.
Une partie du château fut convertie en hôtel.
Description
Le château se présente aujourd'hui sous la forme d'une grosse maison. De son origine, il a conservé sa porte du XIIIe siècle. On peut également encore observer quelques éléments du XVIe siècle, des contreforts, une porte et des ouvertures surmontées d'une accolade, dont une fenêtre double.
La Maison de la Dent du Chat
Adresse :
1 chemin du port
73170 YENNE
Téléphone :
04 79 36 71 54
Email :
yenne.tourisme@orange.fr
Site web :
dentduchat.com/tourismeCarte intéractive :